-- blouson noir

Moïra Coghlan
blackness calls me back, outside the siren howls

âge, naissance / trente-et-une années font d'elle la petite dernière coghlan, la gosse, et ses frangins n'ont jamais manqué de le lui rappeler. elle a vu le jour à belfast, un treize juin, les pleurs résonnant sous le toit de la maison parce que, maman, championne de l'accouchement après quatre enfants, elle n'a pas vraiment eu le temps de filer à l’hôpital pour le cinquième. nationalité / ancrée à chicago, mais le sang et la naissance en veulent autrement. irlandaise de cœur, de corps, d'esprit. la nationalité américaine comme outil pour infiltrer l'ennemi. emploi, $$$ / l'insigne scintillant et le permis de port d'arme pour preuves de sa droiture. sergent de police, flic, pig, et tous les sobriquets qui vont avec. flic parce que la matriarche l'a dit, parce que mo et son doux visage font aisément illusion. elle file des tuyaux, balance des preuves et sauve quotidiennement la mise aux amazones, mais surtout à ses frangins. ($$$) statut civil, sexualité / solution de facilité, que de blâmer le manque de temps pour son célibat, blâmer ses frères, leur façon de faire fuir les hommes, et même les femmes, montrant les crocs et préparant leurs poings. c'est pourtant eux qu'elle accuse, lorsque maman demande des nouvelles, taisant sa façon de présenter son arme ou son tatouage des white amazones à la moindre approche. elle se protège, mo, et par dessus tout elle protège son clan. affiliation / les white amazones l'ont accueillie à bras ouverts, la fille coghlan, la gamine dont la famille a toujours eu des liens étroits avec les gangs de chicago. elle n'a pas eu de mal à se hisser au rang de second. à chicago depuis / 2005, elle avait tout juste seize ans quand la famille a migré, quand les gangs se sont confondus, la famille agrandie. groupe / chicago lions.

( get to know me )
sarcastique, bornée, réaliste, moqueuse, passionnée, ambitieuse, méfiante, revancharde, protectrice, méthodique, vigilante, réfléchie, critique

people help the people □ moïra, elle a cette façon de protéger tout le monde, cet instinct primaire qui lui donne envie de sauter devant le moindre danger pour protéger une biche égarée. elle n'a pas besoin de connaître la biche en question, pour ça, et ce soir là elle s'est interposée sans réfléchir entre une gosse et son agresseur, gagnant au passage une belle blessure due à un coup de couteau mais ne manquant pas de faire fuir son adversaire. la gosse a voulu la remercier, l'emmener à l’hôpital, mais mo a décrété qu'elle se débrouillerait avec cette égratignure et s'est contentée de la raccompagner histoire d'éviter un incident supplémentaire.

( everyday superhero )
papa, c'était le bras droit d'un gang irlandais. et maman, c'était une reine. ils n'avaient pas leur pareil, à belfast, et les enfants ont inévitablement suivi la même voie. l’aîné a fini derrière les barreaux plus de fois qu'ils ne s'en souviennent, mais c'est normal, c'est la vie chez les coghlan, on s'en accommode, et on finit par penser qu'il n'y a rien de plus dans la vie. les quatre garçons ont au moins un passage par la case commissariat à raconter inlassablement à chaque fête de famille. — moïra, elle a toujours trempé dans des histoires pas nettes, avant même de comprendre de quoi il s'agissait réellement. exposée à toutes sortes de trafics et de crimes, elle n'a pas eu une enfance normale et ses aînés ont eu beau tenter de la protéger, elle était vouée à faire partie du gang. parce que c'était la famille, le clan, parce qu'on ne s'appelle pas coghlan si on n'a pas la fierté et l'honneur dans les veines. elle n'a que rarement mis les pieds sur le terrain, occupée à être le cerveau des opérations aux côtés de sa mère. cela ne l'a pas empêchée d'apprendre à se servir d'armes en tout genre, ne serait-ce que pour montrer qu'elle avait les mêmes capacités que n'importe quel autre membre. elle l'a gagnée, sa place, la gosse, on ne la lui a pas simplement offert en héritage. — l'instinct maternel puissant, développé au contact de ses frères. elle a peut-être une fâcheuse tendance au fais ce que je dis, pas ce que fais mais c'est que l'idée d'en perdre un lui retourne les tripes, lui bouffe le cœur. elle n'a que trop de fois recousu ses frangins, rendu visite en prison, attendu le cœur battant et la gorge nouée qu'ils rentrent d'un boulot. — sa mère la fascine, autant qu'elle l'intimide. modèle de force, impératrice inflexible, elle est au centre de la moindre décision: what would mom do ? quelque chose d'intelligent, quelque chose de stupéfiant, de la putain de magie, un miracle. elle vit pour ça, moïra, lui ressembler, en être digne, la rendre fière. — elle n'a rechigné qu'une fois, mo, face aux ordres de la matriarche des white amazones. on lui a demandé d'être flic, et elle a éclaté de rire, la gosse, un éclat mort en une fraction de seconde, étouffé dans sa gorge par le regard dur soutenant le sien. pas la moindre trace d'amusement. c'était hors de question, on marchait sur la tête, flic et coghlan, comme si la multitude de casiers judiciaires à ce nom ne suffisaient pas à établir que l'idée était mauvaise. elle avait beau ne pas avoir d'ambition professionnelle, elle savait ce qu'elle ne voulait pas, ne voudrait jamais, et l'école de police se serait trouvée tout en haut de la liste si elle avait seulement su l'idée envisageable un jour. aujourd'hui sergent coghlan, oxymore par excellence. — le gang est une seconde famille. si la sienne s'est un peu dispersée, entre street people et white amazones, entre criminalité et rêve américain, les liens restent étroits. le gang est la continuité de ce qu'elle a toujours connu, et elle ne pouvait que s'y sentir chez elle, presque comme si la position de force lui revenait de droit. là encore, il lui a fallu faire ses preuves, et son entrée dans la police a rendu la chose malaisée, mais il faut lui reconnaître une chose, mo ne se laisse pas marcher dessus, et son ambition ne connaît pas de limite. — ripou, elle a toujours supposé qu'ils savaient. corrompue, elle s'est toujours dit qu'on l'avait à l’œil. coghlan, la sentence, la malédiction, coghlan synonyme de tout ce qu'elle est supposée proscrire. elle a soutenu les regards en promettant des conneries, menti la main sur le cœur, la main sur la bible, et chaque fois l'impression qu'on pouvait voir au travers, discerner les battements irréguliers d'un cœur tatoué du drapeau irlandais, lire au fond de son regard se voulant inexpressif qu'elle n'a que faire de tout ce qui n'est pas estampillé de son maudit patronyme. pour l'heure, elle n'a pas été démasquée, en tout cas pas publiquement. ses collègues et elle vivent une entente cordiale, qu'elle soupçonne basée sur la peur de représailles mais le comment du pourquoi ne l'intéresse pas tant que son poste lui offre une longueur d'avance. — la voix de la raison, c'est ce qu'elle est supposée être, en plus d'une seconde maman, d'une infirmière, d'une carte sortie de prison. tête haute et airs froids, elle fait parfaitement illusion, mo, parfaite petite copie de la reine des abeilles, donnant l'impression d'avoir toutes les cartes entre les mains, même lorsqu'elle se noie. le poids du monde sur ses épaules, c'est du moins l'impression que cela donne, et peu d'emprise véritable sur quoi que ce soit. fake it 'till you make it, elle prétend avoir tout sous contrôle, promet de protéger son clan, de les tirer d'affaire, tout en se découvrant soudain croyante lorsque ses mains se joignent et que ses lèvres murmurent des prières souhaitant ne pas avoir à le faire. contrairement à ce qu'elle aime tant faire croire, elle est loin d'avoir les pleins pouvoirs.

vrac douée pour panser les blessures, on l'appelait la petite infirmière. à présent, le surnom vaudrait une langue coupée mais la réalité n'a pas changé, elle est calme et minutieuse lorsqu'elle recoud les plaies, ne bronche pas face au sang et aux nez cassés sortant des combats illégaux. — le plus beau cadeau qu'on lui ait fait est sans nul doute le coup de poing américain qui ne quitte jamais son sac. — mo, momo, coghlan, si sporadiquement appelée par son prénom qu'elle pourrait l'oublier. — drive est son film préféré. elle en connaît chaque mot, chaque chanson, et le regarde religieusement au moins une fois par mois. fight club dispute la seconde place avec eternal sunshine of the spotless mind. — elle ne veut pas d'enfant. là aussi, elle pourrait accuser ses frangins, dire qu'elle a suffisamment de travail avec eux, mais elle ne ressent tout simplement pas le besoin d'être mère. elle a également bien conscience de ne pas vivre dans un univers idéal pour cela. — elle regarde passionnément des documentaires animaliers en caressant son chat, fionn mac cumhaill (coghlan). — tatouée de partout, elle a une préférence pour amhrán na bhfiann au niveau de ses six et septième côtes.

pseudo, prénom / vespertine, nawal âge, pays / 20 yo, bélgica faceclaim / evan rachel wood, queen of all queens inventé ou pl / inventé + gang crédits / AaRON (lyrics), westworldedits.tumblr, bennskywalker.tumblr (gifs), panda (avatar) partie libre / these violent delights have violent ends j'regarde trop westworld ik

Félicitations, tu es validé-e !
La jolie Momoooooooooo (cette sign blblblbl j'suis amoureuse, laisse tomber).
tu sais déjà tout le bien que je pense de ton canon, là (et tout ce que Fitz en pense uhuh)

Tu es maintenant prêt-e à jouer sur JB.
Pense à vérifier qu'on ne t'a pas oublié dans le bottin des métiers ainsi que dans le bottin des logements.
Tu peux aussi ouvrir ton carnet afin de te trouver liens et rps.
Tu recevras bientôt un Mp pour ton premier rp ouvert par un membre du staff avec quelques propositions de personnes pouvant correspondre à ta recherche de liens.
En cas de question, n'hésite pas à nous contacter

mon joli fiiiitz
merciii babe