(I know I'm a hard one to please)

Serena Hill
you believe god is a woman

âge, naissance / 32 ans, tu n'es pas arrivée toute seule, tu as été accompagnée par ton frère jumeau, Ben ou Benjamin et c'est ensemble, le 4 juillet, à Austin que vous avez poussé votre premier cri. nationalité / Américaine et ce jusqu'au bout des ongles, tu es née au Texas et c'est un fait dont on est plutôt fiers chez les Hills. Les histoires de ta grand-mère sont légèrement coincées et racistes, mais tu t'es toujours contentée d'un sourire poli pour lui faire plaisir. emploi, $$$ / Mère d'abord, c'est quelque chose que tu revendiques assez fièrement, Jude et son sourire, c'est ta fierté à toi et ta raison de te lever le matin. En plus de gérer cette boule d'énergie, tu es également avocate et ce depuis peu, ayant finalement terminé tes études et ton stage au sein de la police locale. Pour l'instant, on te refile les cas dont personne ne veut et des gens incapables de payer mais... il faut bien commencer quelque part, pas vrai ? statut civil, sexualité / Célibataire, tu n'as plus le temps pour tout ça, les hommes c'était avant, dans ta jeunesse, plus rien ne t'impressionne maintenant et tu es toute aussi satisfaite avec ce que tu caches dans ta table de chevet alors ... affiliation / Aucune. à chicago depuis / Douze ans, Ben et toi vous avez posé vos valises ici, fatigués de courir partout et en ayant assez de vos petites magouilles respectives. groupe / chicago lions.

( get to know me )
déterminée : si tu te fixes un objectif, on ne peut pas vraiment te faire changer d'avis, une qualité que même ton jumeau trouve un brin énervante parfois • loyale : tu possèdes ton propre code de l'honneur et si tu décides de t'attacher à quelqu'un c'est pour la vie et parfois, pour le meilleur et pour le pire • franche : quand tu n'es pas en train de jouer les avocates et d'arrondir les angles pour certains, tu vas droit au but, tu détestes les longs discours dans la vie de tous les jours et à cause de cela, on t'a déjà qualifiée de cassante ou hautaine... deux attributs qui te vont très bien • intelligente : tu as une très bonne mémoire et étudier n'a jamais été un problème pour toi, si tu étais née dans la bonne famille, tu aurais fini à Harvard ou quelque chose comme cela • débrouillarde : tu l'as toujours été et ce depuis ton plus jeune âge, qu'il s'agisse de nourrir ton frère, de payer les factures ou juste d'arriver à l'heure à l'école, tu sais ce que tu fais • caractérielle : que personne ne te contredise ou retourne ton statut de femme contre toi, c'est quelque chose que tu détestes particulièrement, et c'est tout ce qu'il faut pour te mettre hors de toi • un peu superficielle : tu aimes les belles choses, ça a toujours été le cas et ton pêché mignon ? ce sont les chaussures bien entendu, c'est pour cette raison que tu es toujours juchée sur 7 cm de talons, avec le temps, tu t'y es fait.

LE CLIENT RECONNAISSANT □ Lui ? Il était dans une impasse, mis derrière les barreaux pour un petit vol à l'étalage, son casier est peut-être complètement vierge mais sa liste de méfaits est longue. Oui, quand on appartient à un des gangs locaux, il faut bien se salir les mains. Et s'il n'a échangé que deux mots avec son avocat commis d'office, son nom et prénom, il ne s'attendait pas à ce que Serena le tire de ce faux pas ou réussisse à le libérer. La blonde est douée, plus qu'il n'y paraît, et il devra lui retourner la pareille un jour, question de principes.

( everyday superhero )

1999, Austin, TEXAS
« PAPA ! …. Non, non, où est-ce que vous l’emmenez ? Non, arrêtez, arrêtez ! » Les larmes qui roulent sur tes joues sont encore plus salées que d’habitude, de même que pour les cris qui quittent ton gosier et qui viennent ponctuer la scène. Toi qui faisais de ton mieux pour ne pas trop faire de bruit ce matin-là, mâchouillant tes céréales sans grande conviction, observant Ben en faire de même… Tous les deux, vous étiez en train de compter les minutes, les minutes qui vous séparent de l’arrivée du bus scolaire et avec lui une forme de délivrance. Des heures de paix, sans l’ombre menaçante de la matriarche, sans les insultes, sans les réflexions sur tes cheveux, ta posture, tes yeux bleus et la ressemblance trop frappante avec Teddy. Teddy l’incapable, Papa le héros pour vous, ce héros qui fixe le sol désormais, les bras dans son dos, menotté par ses collègues, eux aussi qui portent un uniforme tout aussi pompeux et officiel. Non, la salve de cris arrive une nouvelle fois, ta mère te somme de te taire, Ben essaye de te retenir, mais sa prise n’est pas la bonne, il est tout aussi perdu que toi et tu profites de l’opportunité pour courir. Courir jusqu’à ton père, essayant de pousser ses collègues, de ne pas le laisser monter dans cette voiture et de tout faire pour le retenir. Pourquoi est-ce qu’il n’essaye même pas ? Et puis pourquoi est-ce qu’ils l’emmènent d’abord ?  Il pousse un soupir, les yeux trouvent les tiens, puis ceux des autres hommes à côté de lui.

« Est-ce que… est-ce que je peux avoir un moment ? … S’il vous plaît ? » Il supplie, c’est la première fois qu’il le fait et il réussit à avoir quelques minutes de plus, assez pour que les deux autres hommes s’éloignent de quelques mètres, assez pour que ses genoux trouvent le sol et qu’il arrive à ta hauteur. Tu passes tes deux bras autour de son cou, il ne peut pas partir, même pas pour quelques minutes, il doit être là quand toi et Ben vous revenez de l’école, c’est comme ça que les choses fonctionnent. « Serena… Serena, écoute-moi. Tout va bien se passer, c’est juste une erreur, okay ? Je dois juste aller à la station de police avec mes collègues, et on va régler le problème, d’accord ? » Il ment, tu le sais toujours quand il ment, il a toujours une partie du visage qui a envie de se tordre dans une grimace, comme maintenant. Il vous dit souvent la vérité, et il vous a dit où finissent les gens qui ne se comportent pas bien et qui montent à l’arrière de ce véhicule-là. Un autre homme intervient, lui fait signe de se relever, et il s’éloigne, on te le prend et tu réalises une seconde plus tard que c’est encore Ben qui te retient cette fois-là. « Non, s’il te plaît ne pars pas… Non. » Tu es désespérée, plus que tu es désespérée, tu es perdue et quand Teddy trouve sa place dans le véhicule, quand la porte est refermée derrière lui, c’est la vérité qui arrive alors. « Non… Tu ne peux pas nous laisser avec elle, Papa… » Il ne peut pas, tu ne sais pas qui va vous protéger Ben et toi, s’il n’est plus là, c’est une pensée bien égoïste et tu sais déjà que tu as raison, tu le sais car tu lui jettes un regard, à ta mère, qui elle n’a pas bougé depuis le début de cette scène-là, elle est adossée à la porte d’entrée, un sourire sur le visage. « Veillez l’un sur l’autre okay ? » Les derniers mots de Teddy sont pour Ben et toi, des conseils pour toute une vie et tes pleurs eux ? Ils redoublent au moment où le véhicule s’éloigne enfin.

2003, somewhere, KANSAS
« Oh … je crois que c’est notre jour de chance, c’est une Cadillac. T’es prête ? Bien sûr que t’es prête, tu sais toujours quoi faire… » Tu as sourire sur le visage au moment où le regard de Ben croise le tien et tu lui fais signe de déguerpir, sinon il va faire foirer toute votre petite opération. Il le fait rapidement, il s’éloigne de la route, lui et sa tignasse blonde disparaissent dans les hautes herbes environnantes. Tu sais qu’il est l’affût surtout, comme un chasseur qui attend sa prochaine proie, et c’est un peu ce qu’il est, ce que vous êtes. Lui et son fusil à pompe se cachent un peu plus loin tandis que vous attendez le prochain animal et toi ? Toi, tu es l’appât bien entendu, c’est bien pour cela que tu portes cette robe-là: un peu trop courte, le décolleté trop plongeant et le tissu un peu trop fin qui dévoile ta silhouette d’adolescente et les sous-vêtements que tu portes. Tes yeux bleus repèrent la fameuse Cadillac, la voiture de tes rêves, tu le sais déjà et si ton visage est vide de toute expression pendant quelques secondes, quand le véhicule s’arrête devant toi, tu as tout de la fille paumée. Le regard apeuré, la poitrine qui se soulève un peu trop sous le coup de la panique, et quelques larmes au coin des yeux. « …. Hey, tu es perdue ? » C’est un homme qui s’arrête, bien entendu, tu lui donnes trente ? Quarante ans ? Quelque chose comme cela, la barbe date de plus de trois jours et le regard qu’il te jette te donne presque la nausée. Presque, tu en a vu beaucoup dans son genre, alors tu ne perds pas une seule seconde, c’est ton sauveur, tu es une très bonne actrice et c’est pour ça que tu bats frénétiquement des cils, agrippant la porte de sa voiture comme si ta vie en dépendait.

« Oh mon dieu. Merci de vous être arrêté, vous allez rire je… pfff mon copain est un connard, on s’est disputés, à cause du truc le plus con du monde, on était perdus et okay, peut-être que c’était ma faute et que je n’arrivais pas à lire la carte… mais ce n’était pas une raison pour me laisser toute seule. » Les mots ont déjà été répétés maintes fois, une dizaine, ou alors peut-être une centaine au cours des mois précédents, tu ne sais pas, tu as arrêté de compter. Ben dit souvent que tu mérites un oscar, tu répliques en lui disant que les hommes sont surtout très cons et qu’être blonde a parfois des avantages. « Quoi ? Il t’a laissée ici toute seule, c’est lui le plus idiot, ce n’est pas un coin sûr pour les gentilles filles dans ton genre. » Gentille fille ? Vraiment ? Tu te retiens de rouler des yeux, parce que tu ne te qualifierais pas de gentille fille, tu as abandonné les bancs de l’église et de l’école il y a un an maintenant, préférant vivre sur la route avec ton jumeau. Sur la route on apprend mieux et on se méfie de tout le monde. Tu ne le dis pas, tu te contentes de hocher la tête, tandis que du coin de l’œil, tu vois Benjamin sortir de sa cachette, arme à la main. Il est rapide, rapide à faire le tour du véhicule, et rapide à se mettre en position. Et cet idiot l’aurait bien remarqué… si son regard n’était pas perdu dans ton décolleté. « Pas vrai ? Et c’est pour m’apprendre une leçon mais pff… je marche depuis vingt minutes et il n’est toujours pas là. Vous pourriez m’emmener dans la ville la plus proche ? »  « Oh oui bien sûr, je suis un type bien m… »  Il ne finit par sa phrase, il ne peut pas finir sa phrase, car de l’autre côté du véhicule, Benjamin vient de faire son apparition, arme entre les mains, le conducteur dans son viseur.   « Un type bien ? C’est pour ça que tu recules ma sœur ? Nan, t’es pas un type bien, t’es le type qui va gentiment lever les mains et sortir de son véhicule. » Tu pourrais rire parce que c’est un peu trop facile, parce que cet idiot a un air de véritable panique sur le visage et qu’il s’exécute avec des mains tremblantes, balbutiant des mots d’excuses et un début de prière. C’est fou, il avait l’air un peu plus grand quand il pensait qu’il avait une chance de te peloter.

« Vide tes poches. » Benjamin se trouve à tes côtés maintenant et vous échangez un sourire, l’espace de quelques secondes, avant de vous concentrer sur votre victime. Qui vous fait cadeau d’un paquet de chewing-gum, une boite de cigarettes, un téléphone portable et un portefeuille. C’est toi qui récoltes le butin, les chewing-gums sont pour Benjamin qui adore tout ce qui est sucré, les clopes pour toi et c’est avec une cigarette au coin des lèvres que tu fouilles le portefeuille, contentes d’y trouver des billets verts. Assez pour se payer plus d’essence, un repas décent et une nuit ou deux dans un motel. « T’aurais pas dû t’arrêter au final… mais ça tombe bien, j’ai toujours rêvé de conduire une Cadillac. »

2019, Chicago, ILLINOIS
« Maman, regarde ce que papa m’a acheté ! »  La voix de Jude ? Le meilleur son du monde et tu es tellement contente quand tu ouvres la porte de ton appartement, révélant la petite fille et son sourire, et tu es prête quand elle se jette dans tes bras. Tu es prête et tu la serres contre toi, te remettant enfin des heures qui vous ont séparées. Si un jour on t’avait dit que tu serais mère, tu n’y aurais jamais cru. Oui, ça aurait été le début d’une bonne blague, et pourtant depuis quatre ans, tu fais de ton mieux avec Jude, tu fais de ton mieux pour l’aimer, pour qu’elle est une chance de s’en sortir et qu’elle ne te regarde pas avec autre chose que cette petite lueur qui brille dans le fond dans ses yeux. Elle te ressemble un peu, elle ressemble à tonton Ben du coup, mais pas que, tu as beau essayer de l’ignorer, il y a un peu de Kostya en elle, ses yeux, son sourire…  et sans lui, elle ne serait pas là ce soir. Tu l’ignores encore aujourd’hui, tout comme tu l’ignores lui, lui et ses jambes un peu trop longues, lui qui observe cette scène un peu trop privée. Tu t’écartes enfin, laisses Jude respirer et elle te montre sa nouvelle poupée, blonde comme elle et toi, et une princesse bien entendu. Le discours de l’enfant est décousu, c’est souvent le cas à son âge mais tu sais qu’en la regardant, elle a passé une bonne journée. Elle était avec son père après tout, et à son âge, toi aussi, tu passais tes meilleurs moments avec ton père. Tu ranges la pensée bien loin, Kostya n’est pas Teddy, et ce même si lui aussi a fait de la prison, la ressemblance s’arrête là, tu en es persuadée. « Oui, je vois Jude… tu peux l’ajouter à ta collection, dans ta chambre. » Tu fais la remarque avant de déposer un baiser sur le front de la petite, pour la route, pour lui rappeler que tu l’aimes et qu’elle est la chose la plus importante du monde à tes yeux et quand tu te relèves, Jude hoche la tête et lance un :  « Oui, elle pourra faire dodo avec les autres ! » avant de courir jusqu’à sa chambre. Le sourire que tu as sur le visage en la voyant s’éloigner est sincère, parfois, tu te demandes d’où elle tire son énergie, et puis tu te rappelles de ta jeunesse, de toi et Ben occupés à grimper à des arbres, à repeindre votre chambre ou ce genre de bêtises qu’on fait toujours à cette âge-là. C’est normal, Jude va bien, elle a une enfance normale et c’est bien pour cela qu’elle côtoie son père. Le silence retombe d’ailleurs entre vous deux et ton sourire disparait aussitôt, c’est une expression plus fermée et un peu féroce sur ton visage à présent, il ouvre la bouche et tu l’interromps aussitôt. « Non… »

Non, parce que tu n’es vraiment pas humeur à l’entendre lui et le son de sa voix. Tu as eu une longue journée et plus d’une fois, tu t’es surprise à regarder des photos de Jude sur ton téléphone portable, pour te dire que c’est pour elle que tu fais tout ça. Oui, pour elle. Elle n’était pas censée être de ce monde, et pourtant, quand le test de grossesse a confirmé ce que tu savais déjà, tu as pris ta décision automatiquement. Tu seras une bien meilleure mère que la tienne. Tu avais déjà arrêté les conneries avec Ben, vous vous êtes rangés en arrivant à Chicago, mais cette grossesse, cela a été un véritable réveil. Plus de boulot de serveuse minables, tu as repris le chemin des études, alternant entre les rendez-vous chez le médecin et tes livres de droit, tout ça avec l’aide de Benjamin, ton jumeau jamais bien loin. Pas comme certain. Pas comme Kostya qui aurait simplement dû être un ex de trop, la mauvaise rencontre et le type qui finit par disparaitre au réveil. Et pas le père de ta fille.  « Je ne veux pas entendre d’excuses, ou même un début d’excuses, quand elle va revenir, tu vas lui dire au revoir, lui faire un sourire et ça sera tout. Si elle me demande si tu peux rester pour le dîner, tu vas dire non, parce que tu es occupé, compris ? »  Le timbre de ta voix est sans appel, c’est une intonation qui est réservée pour toute personne qui te sous-estime et pour lui visiblement. Est-ce que tu lui fais confiance ? Oh que non, et il est au courant de l’existence de Jude simplement parce que tu as estimé que c’était la bonne chose à faire et parce que … oui, une partie de toi aurait été incapable de mentir à Jude, tout le monde à un père, alors pourquoi pas elle ?  « Et je te conseille aussi de t’acheter une montre, parce que la prochaine fois que tu as trente minutes de retard je… »  Tu es une mère trop protectrice, tu le sais, mais cela n’a jamais été quelque chose de mauvais à tes yeux, pour Jude ? Tu es prête à déplacer des montagnes et c’est normal, c’est ainsi que doit se comporter une mère. La fin de ta phrase n’arrive pas, elle ne vient pas car Jude refait son apparition, toujours aussi enjouée et toujours aussi Jude. « Papa, papa, viens voir ma chambre… » La petite est devant Kostya, s’agrippant à ses vêtements, pas prête à le laisser partir et la vision est presque familière. Presque.

pseudo, prénom / malibu. âge, pays / plus jeune que mon personnage, dans un pays où on adore notre reine   .faceclaim / teresa palmer. inventé ou pl / pré-lien de Kostya    crédits / yellowfeather84 (tumblr), . partie libre / j'ai un peu trop de temps libre et de l'inspiration, je ne serais pas là tous les jours mais je passerais au moins une fois par semaine poster des rps      oh et le header est super beau   .

LA MAMAN DE JUUUUUDE avec un peu de chance la gosse prendra d'elle niveau moralité
vive le drama à venir (avec ce caractère ça promet )
encore merci, on va faire de grandes choses      
et bienvenuuue

Citation :

let's not forget that men are the worst

ce pl, teresa, le prénom, le métier, les rps qui s'annoncent
déjà hyper fan
et bienvenue à la maison

teresa est tellement tellement belle,
et puis ces choix,
trop de perfection & de beauté.
bienvenue par ici

(blblbl t'es trop choubidou, merci pour le header )
j'vais répéter ce qui a déjà été dit mais tellement un bon choix de pl et puis teresa
bienvenue à toi si t'as la moindre question, surtout n'hésite pas
je te réserve teresa jusqu'au 19/05

*envoie des petits cailloux sur @Kostya Sjöström *


merci à tous pour l'accueil et ravie que teresa plaise, j'avais vraiment envie de la jouer,
et je note que tout le monde il est beau par ici

Non mais ce choix parfait !
Bienvenue par ici.

Bienvenue parmi nous et bon choix de pl

le combo est superbe
bienvenue par ici

merci pour vos messages
*va poster le reste de sa fiche*
j'ai essayé de faire court et j'ai échoué

c'est tout bon pour moi
ça promet des rps explosifs

excellent choix de pl, j'vois que ça va envoyer du lourd dans le drama
bienvenue parmi nous

Félicitations, tu es validé-e !
j'adore serena ??? c'est mon idole j'ai tellement hâte de voir les rp avec kos, je sens que ça va être explosif et fun à lire

Tu es maintenant prêt-e à jouer sur JB.
Pense à vérifier qu'on ne t'a pas oublié dans le bottin des métiers ainsi que dans le bottin des logements.
Tu peux aussi ouvrir ton carnet afin de te trouver liens et rps.
Tu recevras bientôt un Mp pour ton premier rp ouvert par un membre du staff avec quelques propositions de personnes pouvant correspondre à ta recherche de liens.
En cas de question, n'hésite pas à nous contacter