(wl) death ain't nothing but a heartbeat away

warren locascio
death ain't nothing but a heartbeat away

âge, naissance / ving-huit ans tout juste, il est né à nashville, dans le tennessee, alors que les locascio étaient en voyage. enfin, surtout locascio père. nationalité / si son arrière-grand-père du côté maternel est italien et sa mère, irlando-américaine, ses origines auraient pu lui rajouter un peu de couleur sur ses papiers. il a décidé d'être simplement et au plus banal, américain. emploi, $$$ / on avait parié qu'il serait allé loin, le gringalet. on avait prédit qu'il aurait eu son master, et qu'il serait un grand avocat, ou un de ces entrepreneurs qui font vite fortune. il est brillant, y'a pas d'quoi s'inquiéter, qu'ils pensaient tous. le jour de la cérémonie où on aurait du lui remettre son diplôme, ce ne sont pas les rideaux de velours qui se sont levés, mais ceux en acier. on lui a rendu sa liberté, à l'avorton. ($, en probation, vient de perdre un énième petit boulot, nouveau cuisinier au o'malley).  statut civil, sexualité / célibataire, jamais réellement coupable ni capable d'amour, il s'en persuade. on lui connait quelques écarts, égarés dans les courbes pulpeuses féminines qui seules parviennent à la rendre hagard. affiliation / il fait partie de la vermine qui pollue et pullule à chicago. nuestra sociedad cubana, elle coule dans ses veines, avec des origines diluées par le temps. héritage qu'il a toujours voulu renier, il n'a pas eu d'autre choix que de l'embrasser. à chicago depuis / il est revenu à chicago il y a quelques semaines. la dernière fois qu'on l'a vu arpenter les rues de la ville, c'était il y a huit ans. groupe / windy city bulls.

( get to know me )
ce qui n'a pas (trop) changé - intuitif, parfois éloquent et charismatique, toujours un peu gauche, légèrement candide, plutôt espiègle, franc et cinglant.

maintenant - fermé, distant, instable, méfiant, imprévisible, débonnaire, violent (plus envers lui-même qu'autrui), indifférent, impassible, intraitable, manichéen, malléable, rustre, pragmatique, toujours réfractaire aux sentiments.

avant - solaire, niais, simple, volontaire, altruiste, possessif, passionné, curieux, attentionné, sensible, rêveur idéaliste, tendre, autodidacte, gauche, réfractaire aux sentiments.


les fantômes du passé (southside chicago) □ ils connaissent warren, l'apprécient ou non, mais ils ont pu passer de très bons moments avec cet adulescent un peu gauche et toujours avec ce fichu sourire accroché aux lèvres. ils ont grandi dans le quartier de southside, jusqu'à ce que warren ne déménage dans le nord de la ville. ils ont essayé de garder contact, mais au fur et à mesure, la vie les a séparés, ils ont tous changé, en bien ou moins bien, voire mal.

les fers d'aujourd'hui (forces de l'ordre) □ membre(s) des forces de l'ordre, ils avaient locascio dans le nez. il était trop calme, ce gamin, pour que ce ne soit pas suspect. alors, quand ils ont pu l'épingler et le mettre derrière les barreaux pour contenir la vermine dans les rues de chicago, ils ne se sont pas gênés. un d'entre eux peut aussi être son agent de probation, ça serait rigolo à développer.

les rivaux (anti-gangs et gangs ennemis) □ bien que toujours affilié à la nsc, il n'en a pas toujours fait partie. bien au contraire, il a toujours essayé de se tenir à l'écart des affaires un peu trop louches. ce n'est qu'à son entrée en prison qu'il y a adhéré officiellement, plus pour se protéger que par conviction. ses anciens amis ont pu devenir ses nouveaux ennemis.


( everyday superhero )


( dead horse ) // adulescent

père locascio absent, le visage souvent amoché, les poings brisés, on peut pas dire qu'il ait été l'idéal. warren a du veiller sur lui, l'envoyer parfois dans sa chambre et le porter quand il était trop saoul. jamais violent envers son fils, c'est warren qui a eu les mots et la dent durs envers lui. à lui recoudre l'arcade, à faire des petits boulots - son préféré, sûrement à la bibliothèque du lycée, pour lui éviter qu'il finisse comme la mère o'shea. ça n'a pas suffi. il n'a pas suffi. non, ça devait être le dernier coup. le dernier, définitif. maladie fulgurante, le karma qu'on lui avait promis. il pensait pouvoir payer le prix, c'est finalement warren qui le couvrira. au fond d'un placard à double-fond dans la cuisine, il a trouvé des liasses de plusieurs milliers de dollars et des diamants. ne sachant pas vraiment quoi en faire, bien que soupçonnant son père, il n'en a rien fait. jusqu'à ses vingt-ans, les frais médicaux de son père et sa lettre d'acceptation à l'école de droit de harvard et des frais d'inscription dithyrambiques. il a essayé de s'en débarrasser et ça a marché au début. toutes les factures ont été payées, trop ingénieux pour son propre bien. et il y a encore eu la fois de trop, la gourmandise, le frisson et l'envie de se blanchir un futur de rêve. ce sont pas les sirènes de la gloire qui l'ont accueilli, mais celles du fbi. il a été reconnu coupable d'extorsion avec violence, recel en relation avec un gang. le procureur en voulait quinze, la défense cinq. le juge a prononcé dix ans et warren n'en a fait que six, après deux ans de procès. on l'a aussi suspecté d'être relié de près ou de moins à des meurtres, mais sans preuve, la charge n'a pas été retenue. ces accusations-là, étaient pour son père, qu'ils n'ont pas réussi à attraper. gravement malade, warren savait très bien que la prison finirait de l'achever. autant passer ses derniers jours heureux, libre. alors, il a même plaidé coupable, sans savoir dans quoi il s'embarquait. affilié de la nsc sans en faire partie, sans leur protection, la prison a été une promenade à central park en pleine nuit. sans trop exagérer.

( hotel michigan ) // bordel familial

le père locascio, on sait que c'est de la mauvaise graine. il a trempé dans les coups les plus foireux, et la rumeur veut qu'il n'ait jamais réussi à se faire coffrer. cambrioleur hors pair, robin des bois au cigare cubain, il en a fait des casses. enfin, c'est ce qu'on dit. warren, il a le souvenir surtout d'un gars paumé, fauché et abandonné. il sait qu'il a fait de son mieux, le père, qu'il était pas le gamin le plus facile à vivre. maladroit, plutôt à baliser pour ne pas faire signer un bulletin excellent qu'autre chose, son père pensait même parfois que ça pouvait pas être son fils. mais que c'était bien le fils de sa mère. il tient plus d'elle que de lui d'ailleurs. les mêmes yeux, ce même air innocent. parce que la mère o'shea, elle, était l'ange qui n'aurait presque donné envie au diable l'envie de se repentir. prêts à s'enfuir de chicago et de la nsc, il aura fallu la rixe de trop à south side, et qu'un voile noir vienne recouvrir les deux survivants, le père et son fils. plus rien n'a été pareil. les lumières devinrent plus sombres et les goûts, eux, insipides. onze ans, c'est l'âge auquel il a du jouer à l'adulte, sans en connaître les règles.

( alcatraz ) // ou presque

ça en jetait plus sur le papier. il aurait été assez débile pour demander où était le tunnel pour s'échapper de l'île. après deux ans de procès, pendant six ans, il a été à atlanta, en géorgie. pour du tourisme carcéral, si on lui demande. il n'est pas très loquace sur cette période. il dira seulement qu'il a pu développer ses muscles et qu'il a appris à tuer avec un simple coton-tige. et on lui fichera la paix, celle qu'il aurait aimé trouver pendant son séjour. on sait pas vraiment de quoi il a été accusé, on retient surtout qu'il a été coupable et reconnu comme tel. la justice a été rendue, et c'est tout ce qui compte, non ? et puis il y a survécu, y'a pas mort d'âme. enfin, d'homme. ou les deux. ou peut-être que si, en fait. sans protection, au milieu des gangs et de vrais meurtriers, comme dans les films, warren a toujours refusé les mains qu'on lui tendait. au début. jusqu'à ce qu'il se rende compte que refuser, c'était se faire un ennemi. et une fois une bonne partie de la prison à dos, avec sa gueule d'ange et son verbe acerbe, il a eu le revers d'une fortune qu'il a su corrompre. les coups, l'isolement, les séjours répétés à l'infirmerie et l'épiderme qui se marque presque autant que le corps qui s’abîme et l'esprit, lui, qui finit de sombrer.

( broken paradise ) // l'enfer, c'est plus sympa dans un disney

les choses ont fini par se tasser. oubliable, fantôme plutôt, il prie tous les matins, les soirs, espérant pouvoir prier à nouveau. parce que ça voudra dire qu'il y aura un matin de plus, peut-être même un soir. il ne sait pas, ne veut pas savoir. les nouvelles sont mauvaises. l'état du père locascio s'aggrave quand celui du fils pourrit. il n'aura fallu qu'une négligence. une minute de trop, à rester à la bibliothèque, pour finir la page de ce foutu bouquin. les gardiens se détournent, leur tour de garde prend fin. et puis, c'est la bibliothèque, qui y va à part des idiots condamnés ? ou plutôt condamnés à être idiot, warren, lui veut terminer sa page. il est tellement plongé qu'il n'entend pas les portes qui se ferment, les pas qui se veulent discrets mais qu'on entend quand même. le bruit des vêtements qui se froissent se rapproche, lui ne pense qu'à la fin de l'histoire, omettant la sienne. le groupe se renferme. barreaux supplémentaires et infranchissables, véritables barbelés, warren dépose lentement le livre sur le sol. fenêtre d'évasion alors que ce sont les maux qui pleuvent, il s'en va quelque part. l'imagination fait le reste. il y a l'étreinte de sa mère, les mots maladroits de son père. ils sont en voiture, vers le sud. le temps est radieux. il y a des effluves de parfums boisés et de cigarette. les lèvres fendues de warren s'étirent, il voit celui de sa mère. les contusions se multiplient, les rires de l'imaginaires s'effacent au profit du réel, plus moqueurs. et il fait froid. vraiment très froid. warren finit par perdre connaissance. on racontera qu'il est tombé des escaliers, et qu'il était tellement con qu'il y est tombé plusieurs fois. que les estocs, c'est sans doute qu'il a atterri sur une, ou plusieurs cuillères rouillées. ce sera la dernière fois qu'il ne fera que tendre l'autre joue. à son réveil, il apprend que son père n'est plus, et dans sa dernière lettre, il le conjure de rester discret. si seulement. énième erreur au compteur, warren se rapproche des alliés de la nsc en géorgie et entre dans leur bonne grâce, ou dette, peu importe. une autre sentence, à perpétuité cette fois-ci. bienvenue dans l'héritage familial.

( OK ) // le retour du bouffon

sur le pavé de la gare routière de chicago, il n'y a personne. et tant mieux. warren s'allume une clope, sans doute un peu trop tôt en sortant du bus. le chauffeur le réprimande du regard, et il n'obtient en retour qu'un haussement d'épaule. il fait froid, à chicago. ou du moins frais. la géorgie, c'était humide et étouffant. il a l'impression de revivre, un peu. les vêtements qu'il porte sont ceux d'un gamin, trop courts, mal ajustés. il ne peut pas aller voir ses parents aussi peu présentable. sur les vingt-cinq dollars qui lui restent, il en dépensent vingt pour des fleurs, et prend une chemise dans un dollar store. bien que la nuit soit tombée, warren fonce au cimetière et, timide, il peine à s'avancer jusqu'à eux. honteux, quelque part, de ne pas avoir été à la hauteur de leurs ambitions, et surtout de les avoir trahis en multipliant les erreurs, il se signe et tombe à genoux. il les prie, les implore pour un pardon qu'il ne pourra jamais obtenir. alors, à force, il s'épuise et s'effondre. à dormir sur l'herbe fraîche, au pied de la tombe, il a l'impression d'obtenir un réconfort indescriptible, à la fois infime et minime, à la fois mérité et pourtant dérobé. par la vie, par lui-même. on lui met un coup dans les reins, gentil cette fois. warren se réveille. un ami de la famille. il est temps de s'acquitter de sa dette et de rentrer au bercail - la nsc.

à l'écart des gangs, des histoires d'adulte, warren était tourné vers les arts et la musique. mélomane avant de s'inventer clepto, il avait une vieille guitare et profitait du piano de sa voisine pour apprendre. c'est bien la seule qu'il a conservé de son ancienne vie, cette guitare désaccordée, aux cordes abîmées et le vernis décapé.  □  bien que gauche lorsqu'il s'agit d'exprimer réellement ce qu'il en est, il a toujours su séduire et faire jouer son sourire pour obtenir quelques faveurs -plus pour les autres que pour lui-même. un geste qu'il tient de son père, malfrat arnacoeur.  □  il a une cicatrice visible au dessus de l'arcade droite. elle remonte jusqu'au milieu du front. son majeur et annulaire gauche sont tordus. ils n'ont pas été bien remis en prison. son corps est recouvert de stigmates, mal rafistolés, surtout son torse.  il a perdu en sensibilité à certains endroits depuis la nuit dans la bibliothèque.  □  il a quelques tatouages, à l'avant-bras droit - recouvert de divers symboles  (gaéliques, nordiques, de l'empire romain, une guitare), entre des bandes plus ou moins épaisses, pour sa mère et ses origines; au pectoral gauche - psaume 23:4, les cicatrices ont brisé l'encre, on ne peut plus lire entièrement le passage.  □  il est croyant, sans pour autant étaler sa foi. le seul signe ostentatoire, hormis son tatouage, c'est son pendentif de saint christophe, patron des voyageurs, autour de son cou.  □  il est ambidextre accompli, écrit aussi bien de la main gauche que de la main droite et parfois les deux en même temps, quand il doit gagner un pari.  □  sa descente d'alcool est légendaire, tout comme son aptitude à encaisser les coups, depuis toujours.  □  c'est ce qui caractérise sa famille - de bons buveurs, qui savent prendre les coups, avec des aptitudes aux cambriolages. depuis sa création, on raconte aussi qu'il y a toujours eu au moins un locascio dans la nsc.  □  il fume trop, même en entraînement. la boxe est sa nouvelle passion, découverte en prison. auparavant, il était plus aikido.  □  personne ne souvient vraiment du gamin qu'il a pu être. on sait que c'est un ex-taulard, qu'il faut pas trop lui chercher des noises. on sait pas exactement ce qu'il a fait, mais warren laisse les rumeurs se gonfler, ça l'amuse.  □  alors qu'en vrai, il préfère regarder des dessins animés en mangeant des céréales.  □  son père lui a laissé un joli pactole à sa mort. argent sale, blanchi, warren n'en a aucune connaissance, et il s'en fiche un peu. y'a la douze qui attend son escalope. non, vraiment.

pseudo, prénom / spf. âge, pays / 24 ans   en bord de seine. faceclaim / dacre montgomery. inventé ou pl / inventé. crédits / dacresource (gifs) + bltmr (image). partie libre / clin d'bec à tous pour votre super accueil, vous êtes au top et hâte de commencer à faire des bêtises avec vous   .

ce perso qui se profile ???
et puis enfiiiiin un membre de la nsc
et avec grant
bref, je valide tout ce que je vois so far
bienvenu à toi, si tu as la moindre question, surtout n'hésite pas
je file te réserver grant jusqu'au 16/05

grant
the flash me manque graveeee
et ce perso??? et cette plume??
j'suis trop fan
welcome babe

oh merci beaucoup à vous trois pour votre accueil
j'espère que la suite vous plaira aussi

je vais pas être originale mais...
j'aime ces choix et ce début
hâte d'en lire plus
bienvenue

Bienvenue parmi nous

merci beaucoup à tous, ça fait super plaisir cet accueil

edit : je suis un peu pénible, est-ce que ce serait possible de changer de trogne pour dacre montgomery ? pardon du dérangement

t'es pas pénible du tout et bien sûr que tu peux, sans soucis je file te changer ça (en revanche la résa reste quand même jusqu'au 16/05 )

à peine j'arrive, je fais des requêtes et tout, je me mets à l'aise t'sais
merci, je file tout changer aussi

grave, franchement cet abus
(obviously j'déconne, heureusement, c'est mieux, ça prouve que c'est la maison et c'est exactement le but de ce fo )

QU'ON ME PENDE ET TOI RENDS L'ARGENT

(je vais me dépêcher de poser mes valises )

dacre, holy moly
(c'est tout pour moi)
(bye)

tu peux rester aussi, on est bien là

true dat
j'vais pas me faire prier
j'suis la reine du flood dans les endroits pas vraiment faits pour le flood

on va se faire taper sur les doigts
moi j'dis, ça se rattrape avec un lien


(la subtilité)

non t'inquiètes, l'admin m'aime bien (j'sens qu'elle va me contredire juste pour le plaisir )
eh bah, maintenant que tu le dis, j'ai peut-être un idée, je te mp

envoie le pâté, chouchou de l'admin

'chouchou de l'admin' j'aime, retiens @holden fitzpatrick, c'est mon surnom officiel maintenant j'ai décidé

ok i'm déjà in love
bienvenue parmi nous
et on se calmos les jeunes, liv je t'ai à l'oeil

même pas vrai, la chouchou de l'admin c'est l'admin herself, she's selfish af, doesn't care about other

je suis offusquée
aucun respect pour ma personne sur ce forum

c'est si beau par ici
et cette fiche je l'ai dévorée à quand la suite ??
bienvenue beau gosse

moi j'dis, faites vous des bisous, c'est la saison des barbecues
(cette phrase n'a aucun sens, j'sais plus si c'est voulu ou pas )

quel accueil de folie, merci vraiment

Félicitations, tu es validé-e !
ce personnage est absolument divin et ta plume l'est tout autant ça a été un tel plaisir que de lire tout ça (et pfff maisce perso ??? je radote I KNOW mais gash, j'adore, vraiment) (high five pour les dessins animés je l'imagine trop mdrr)

Tu es maintenant prêt-e à jouer sur JB.
Pense à vérifier qu'on ne t'a pas oublié dans le bottin des métiers ainsi que dans le bottin des logements.
Tu peux aussi ouvrir ton carnet afin de te trouver liens et rps.
Tu recevras bientôt un Mp pour ton premier rp ouvert par un membre du staff avec quelques propositions de personnes pouvant correspondre à ta recherche de liens.
En cas de question, n'hésite pas à nous contacter